Le relief d’Achraf Hakimi au cœur de la victoire parisienne sur le Bayern
Le relief d’Achraf Hakimi au cœur de la victoire parisienne sur le Bayern
Paris a connu une soirée d’ivresse en Coupe du Monde des Clubs : malgré une double infériorité numérique, le Paris‑Saint‑Germain a dompté le géant bavarois grâce à l’empreinte lumineuse d’Achraf Hakimi. Latéral infatigable, initiateur de la contre‑attaque décisive, patron du couloir droit et voix de la résilience collective, le Lion de l’Atlas a pesé bien au‑delà d’une simple passe décisive. Son intervention a enclenché l’éclair de génie d’Ousmane Dembélé, validant une victoire deux buts à zéro qui envoie Paris dans le dernier carré de la compétition planétaire. (reuters.com, lequipe.fr, aljazeera.com, footmercato.net)
Une inspiration offensive de haut vol
À l’orée du temps additionnel, alors que les Bavarois étiraient les lignes dans l’espoir d’égaliser, Hakimi a jailli pour subtiliser le ballon avant de déployer un slalom fascinant sur la droite : trois adversaires éliminés d’un crochet intérieur, puis une remise tendue en retrait qui a offert à Dembélé un boulevard vers les filets de Manuel Neuer. (footmercato.net, footmercato.net)
Cette action cristallise la palette créative du Marocain: prise de décision instantanée, vitesse supersonique, lucidité au moment terminal. Elle parachève une dynamique déjà entrevue plus tôt quand le défenseur, projeté très haut, avait déposé plusieurs centres brûlants vers Désiré Doué, finalement buteur sur un service de Kang‑in Lee quelques instants avant. (espn.com, theguardian.com)
Une contribution défensive déterminante
Si l’attaque retient les feux de la rampe, l’abnégation de Hakimi sans ballon a soutenu la forteresse parisienne. Après les exclusions successives de Willian Pacho puis Lucas Hernández, le couloir droit est devenu une zone de surchauffe ; pourtant, le Lion de l’Atlas a contenu Kingsley Coman et Alphonso Davies, bloquant centres et combinaisons, avant de jaillir pour dégager sous la pression un centre de Thomas Müller. (reuters.com, fcbayern.com)
Son ratio de duels gagnés et ses sprints répétés dans la dernière demi‑heure, où Paris évoluait à neuf, ont permis à Marquinhos de resserrer l’axe et à Gianluigi Donnarumma de respirer. (theguardian.com, eurosport.fr)
Leadership et influence psychologique
La portée du Marocain dépasse la bande de gaze autour des chevilles. Sur le rectangle vert d’Atlanta, il a assumé le rôle de guide en multipliant gestes de ralliement : bras levés pour calmer la fougue de Randal Kolo Muani, mots de réconfort pour Donnarumma après la blessure terrible de Jamal Musiala, consignes défensives à Nuno Mendes replacé dans l’axe. (as.com, psg.fr)
Luis Enrique a loué publiquement « la maturité et la force mentale » de son latéral, rappelant qu’il s’agit de sa troisième saison avec le brassard au bras lors des absences de Marquinhos. Hakimi, lui, a souligné la fierté du groupe et l’énergie reçue des tribunes américaines remplies de maillots parisiens comme de drapeaux marocains. (bulinews.com, france24.com)
Un tournant dans la quête de gloire mondiale
En offrant la passe du break, Hakimi place le PSG à une encablure d’une finale rêvée contre le vainqueur du duel Real Madrid‑Borussia Dortmund. (reuters.com)
La victoire, signée sans concessions malgré les coups du sort, consolide l’ambition d’un quadruplé historique après la Ligue des Champions, la Ligue hexagonale et la Coupe nationale déjà glanées. (france24.com, goal.com)
Surtout, elle renforce la candidature d’Achraf Hakimi au Ballon d’or : défenseur devenu meneur de transitions, passerelle entre cultures, visage d’un football total forgé à Paris, Madrid et Dortmund avant d’exploser sous le maillot rouge et bleu. (reuters.com, h24info.ma)
Conclusion : l’empreinte d’un Lion indomptable
Le cinque juillet deux mille vingt‑cinq restera dans la mémoire parisienne comme la nuit où le couloir droit s’est transformé en autoroute vers la lumière. La rage conquérante du Lion de l’Atlas a neutralisé le rugissement bavarois tout en propulsant ses partenaires vers des sommets encore inexplorés. En alliant discipline défensive, éclairs offensifs et grandiloquence mentale, Achraf Hakimi a rappelé qu’un latéral moderne peut être à la fois rempart et catalyseur, gardien des équilibres et poète du dernier geste. Pour le PSG et pour le football africain, son nom résonne désormais comme la promesse d’une couronne mondiale à saisir dans les jours à venir. (aljazeera.com, moroccoworldnews.com)
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